Dogme financier 2 : instruction rapide et vidéo/ Rockefeller – Rothschild

C’est pour faire suivre le dernier de mes articles :

Le dogme financier : asservissement et manipulation du peuple

Voici donc une seconde vidéo bien plus courte avec un acheminement historique du comment et qui a laisser faire ça…

Autant dire qu’on comprend beaucoup plus de chose ainsi, et que ce que font une certaine élite est d’une crasse sans nom (enfin ce sera à vous de juger, là j’exprime ma simple opinion..

Bon le générique est peu sympa, mais c’est le seul défaut de ce petit reportage historique concernant notre présent actuel

Le Contrôle de l’argent Rothschild Rockefeller –

D’ici peu un article sur les puces RFID est pourquoi  les rejeter, les mensonges sur nos carte d’identité et comment enlever un dispositif RFID intégré dedans (alors que vous n’en aviez aucune connaissance etdonnez aucun accord pour

Et  un autre dans peu de temps de ce que devrait être une vraie démocratie.

 

N’hésitez pas  participer à ce blog avec vos commentaires pour vous exprimer sur ces sujets que vous osyez pour ou contre, que vous y croyez ou non ou bien demander des info complémentaires. Je vous demande juste la faveur d »expliquer, de développer, merci

Bien à vous,

Le dogme financier : asservissement et manipulation du peuple

Bonjour à toutes et tous,

La vidéo est longue mais je vous conseille de la regarder entièrement quitte à fractionner la vision au gré de votre temps. Elle est très instructive et démonstrative du drame que nous subissons depuis bien trop longtemps et qui nous conduit là où nous sommes actuellement : la dégénérescence de l’humanité et de la planète, heureusement nous sommes nombreux à nous « r »-éveiller.

Elle apprend ce qu’est l’économie et toutes les dérives qu’elle a mis en place pour le pouvoir et les intérêts des plus puissants au détriment de la plus grande majorité de la population qui n’est que asservie et prise en otage.

Il est question de manipulation, de mise en conflit du peuple sur des détails insignifiant pour évincer la réflexion sur l’essentiel et pour éviter d’inquiéter les oligarques financiers. Il est bien évidement question de surproduction, pollution, pauvreté, servitude, perte du bonheur réel qui en découle.

Sont aussi mis en avant la mise en place du contrôle du peuple par les divers médias qui sont gérés par ces mêmes grandes branches financières, et qui défendent de ce fait leurs propres intérêts et non ceux de la population, et l’illusion du vote du « citoyen » qui, quelque en soit le résultat, ne change rien au problème de fond. La démocratie illusoire pour ne pas faire prendre conscience que nous sommes sous le joug d’une oligarchie.

Des idées de solutions sont exprimés en fin de cette vidéo qui ne pourra en aucun vous laissez indifférent.

Dette, crise, chômage : qui crée l’argent ? du site inter-agir.fr

Lien direct : https://www.youtube.com/watch?v=ECVVlovASrw

Bien à vous,

Bonjour à toutes et tous

Un premier post juste pour tous vous saluer. Salut à toutes et tous 🙂

Si vous vous demandez quel est le but de ce blog, ce qui m’a poussé à me lancer là-dedans et bien je vous invite à consulter la page Idées Libres, but de ce blog.

Mais je vais résumer en une phrase le but primordial de mes publications : le droit au bonheur et qu’il soit accessible à tous.

Mais pour que ce dernier le devienne, accessible, faut-il déjà se poser les questions de ce qu’est vraiment le bonheur et comment y accéder? Et se poser la question qui est : « est-ce qu’il y aurait des gens qui seraient contre mon bonheur, et pourquoi? »

Le bonheur c’est avant tout ne plus haïr son homologue humain, ne plus le jalouser et faire l’effort de le comprendre (ou d’essayer de le comprendre, car il est vrai que par moment c’est compliqué de cerner certains comportements lorsqu’ils semblent absurdes, mais au moins essayer de comprendre pourquoi ils en sont arrivés là) … comment être heureux si on est négatif et que l’on ne souhaite tout d’abord pas le bonheur à autrui et que l’on reste centré sur sa propre personne?

On essai aussi de nous faire croire que la possession c’est le bonheur… Avoir une belle maison, une belle voiture, un beau ou belle conjoint.e, avoir de beaux vêtements, un haut poste dont on peut se targuer sont des bonheurs illusoires… ce ne sont que des besoins qui ont été crée et font oublié le sens même de ce qu’est le bonheur. Cela ne se suffit pas à soit-même pour faire de vous quelqu’un d’heureux.

Le bonheur est extrèmement dur à trouver et garder en ces moments car la société nous en éloigne et nous rend les choses difficiles, si ce n’est pas à carrément nous perdre… car non, ce n’est ni les biens, ni la propriété, ni l’apparence qui fait le bonheur, mais la simplicité de vie, apprécier toutes ces petites choses qui sont la nature, la vie en harmonie avec elle mais aussi avec nos comparses, de ce fait les vrais sentiments humains tel que l’empathie et la solidarité envers son prochain. Je ne fais allusion à aucune doctrine religieuse, que ce soit clair. Si vous remarquez nous sommes tous heureux quand nous aidons quelqu’un et inversement on se sent heureux quand quelqu’un nous tend la main de façon sincère, non pas seulement à cause de l’aide en elle-même mais du sentiment nôble. Certes certains profitent simplement mais justement, ces derniers n’ont rien compris au bonheur et sont loin d’y avoir accès s’ils continuent de la sorte… ils sont de se fait plus à plaindre qu’à haïr … nous finirons tous au tombeau, riche ou pauvre… alors autant mourir en se sentant avoir vécu une vie accomplie et non un simulacre de vie faite de faux semblants, de stress, de course à l’argent et à l’apparence ou de profit envers et contre son semblable…

Sur ceux je vais vous copier/coller les paroles Le bonheur de Brigitte Fontaine et d’Areski Belkacem qui résument très bien tout ceci avec une grande poésie :

Dans les forêts,
dans les villes en braises rouges
au-dessus de la mer,
sur les collines parfumées,
vivait une belle bête chaude et fauve
qu’on appelait le bonheur.
Partout elle bondissait,
elle riait dans la nuit,
partout elle dansait avec le feu
et chantait avec les loups.

Cela se passait
dans aucun temps particulier
car le temps voyez-vous
est une chose mystérieuse…

Cette bête mangeait
tout ce que les gens lui donnaient,
elle se laissait traire par eux,
elle les pénétrait de son rameau doré
s’ils le désiraient
et elle faisait de la musique
avec leurs veines et leurs cheveux.

Pourtant il y en eut quelques-uns
qui la détestèrent
parce qu’elle les empêchait de régner
et que, étant libre et gratuite,
elle cassait le marché.
Alors un jour ils vinrent avec des armes,
ils la capturèrent
et l’enferrnèrent
très loin dans une cage.

Cela se passait
dans aucun pays particulier
car les pays voyez-vous
sont des choses mystérieuses…

Pour que les gens ne se révoltent pas,
ils fabriquèrent
d’innombrables copies de la bête.
Pour qu’ils en soient dégoûtés,
qu’ils n’y comprennent plus rien
et qu’ils l’oublient,
ils la firent bien mauvaise.

La fausse bête
se mit à roucouler,
à jouer au bridge,
à vendre
le soir dans les rues ses tristes appas,
à chanter des opérettes
et à porter des rubans roses
comme on en met dans les cheveux
des petites filles
pour les empêcher d’être
ce qu’elles sont elles-mêmes :
des grandes bêtes chaudes et fauves.

Les gens devinrent amers et tristes,
ils ricanèrent, s’empiffrèrent de gâteaux,
se tapèrent dessus avec rage
et beaucoup se moquèrent
du caniche appelé bonheur,
de la perruche appelée bonheur.

Puis ils oublièrent le Bonheur
comme c’était prévu dans le plan,
excepté quelques-uns
que l’on mit à l’hôpital.

Pourtant
dans les yeux de tous les bébés
on peut voir se refléter l’image
de la terrible bête et
il parait que sa chaleur en vérité
est telle que les barreaux de sa cage
sont en train de fondre là-bas
très loin où les soldats l’ont laissée.

J’ai rencontré
une vieille, vieille dame
qui n’espérait plus la voir
arriver de son vivant
-mais, me dit- elle, je sais qu’elle existe
et après tout c’est l’essentiel-.

Comme elle allait bientôt mourir,
elle ne pouvait pas mentir.

Je vous invite à écouter cette chanson sur cette vidéo…

Bien à vous,

Libresprit